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Ph. Clergeau, A. Sauvage, A. Lemoine, J.-P. Marchand, F. Dubs et G. Mennechez

Philippe Clergeau est écologue au Laboratoire Faune Sauvage de l’INRA de Rennes et à l’UMR CNRS EcoBio. Ses recherches
concernent notamment les échanges biologiques ville-campagne, l’écologie urbaine et la gestion des oiseaux à risques. Il coordonne
depuis 1992 une opération de recherche pluridisciplinaire sur les relations hommes-oiseaux dans la ville.<br class="manualbr" />André Sauvage est directeur de recherche en sociologie au LARES, Université Rennes 2, et professeur à l’École d’Architecture de
Bretagne. Ses travaux sont orientés vers l’habitant des villes, l’évolution sociale des banlieues et les problèmes environnementaux. Il
a réalisé plusieurs études sur des villes étrangères (Moscou, Québec…).<br class="manualbr" />Agnès Lemoine est sociologue au LARES. Elle a effectué plusieurs enquêtes dans le domaine des relations hommesenvironnement.
Elle réalise actuellement une thèse sur les opérations d’aménagement urbain et la participation des habitants.<br class="manualbr" />Jean-Pierre Marchand est professeur de géographie à l’Université de Rennes 2 (URA CNRS 1687). Il dirige l’équipe « Climat,
Occupation du Sol par Télédétection » qui travaille notamment sur les morphologies paysagères.<br class="manualbr" />Florence Dubs et Gwenaëlle Mennechez sont en thèse de doctorat au laboratoire d’Evolution des Systèmes Naturels et modifiés
(UMR CNRS ÉcoBio). Elles recherchent comment les populations d’oiseaux répondent aux modifications paysagères fines, l’une en
milieu bocager agricole, l’autre en milieu urbain.

  

Article paru dans le Numéro 74 Mars 1997,
Natures en villes

Ph. Clergeau, A. Sauvage, A. Lemoine, J.-P. Marchand, F. Dubs et G. Mennechez
Quels oiseaux dans la ville ?

ARennes, la présence et la diversité des
oiseaux varie peu du centre à la périphérie.
Pourtant, les habitants du centre
voient moins d’oiseaux que ceux de la
périphérie. Les habitants des lotissements
en banlieue se divisent entre ceux
qui accueillent et ceux qui pourchassent
les volatiles. Plus loin encore vers la
campagne, on devient plus attentif à
l’existence des oiseaux, à leur diversité.
Nourrit, attiré ou rejeté, l’oiseau dans la
ville, cet animal non domesticable,
reflète les ambivalences du citadin.

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