ARennes, la présence et la diversité des
oiseaux varie peu du centre à la périphérie.
Pourtant, les habitants du centre
voient moins d’oiseaux que ceux de la
périphérie. Les habitants des lotissements
en banlieue se divisent entre ceux
qui accueillent et ceux qui pourchassent
les volatiles. Plus loin encore vers la
campagne, on devient plus attentif à
l’existence des oiseaux, à leur diversité.
Nourrit, attiré ou rejeté, l’oiseau dans la
ville, cet animal non domesticable,
reflète les ambivalences du citadin.