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Thomas Riffaud, Christophe Gibout, Robin Recours

THOMAS RIFFAUD est doctorant à l’université du Littoral-Côte d’Opale (Ulco) dans le laboratoire Territoires, Villes, Environnement & Société (TVES, EA4477, Comue Lille-Nord de France). Il pratique les sports de rue depuis quinze ans et participe
à des compétitions nationales et internationales. Désormais, il étudie ces activités à travers leurs différents publics et dans leur(s) rapport(s) à l’espace, en les comparant notamment aux autres activités artistiques qui investissent la ville.

thomasriffaud@orange.fr

CHRISTOPHE GIBOUT est sociologue au laboratoire TVES (EA 4477), professeur des universités en aménagement et urbanisme à l’Ulco, où il dirige le pôle recherche en sciences humaines et sociales. Il est également un responsable des comités de recherche « transactions sociales » et « sociologie du sport » au sein de l’Association internationale des sociologues de langue française (AISLF). Ses recherches les plus récentes s’organisent autour de deux pôles, les pratiques sportives et l’environnement, interrogés en particulier au prisme de leur gouvernance et de leur praxis.

christophe.gibout@univ-littoral.fr

ROBIN RECOURS est sociologue au laboratoire SantéSih (EA 4614) et maître de conférences à l’université Montpellier. Il travaille sur les motifs et motivations des pratiques culturelles et de loisir des adolescents en vue 1) de cerner les transformations de la société actuelle ; 2) d’appréhender les spécificités régionales et nationales dans le cadre de comparaisons interculturelles ; 3) de comprendre les dynamiques d’intégration et d’exclusion engendrées par ces activités.

robin.recours@univ-montp1.fr

  

Article paru dans le numéro 111
février 2016,
La ville des enfants et des adolescents

Thomas Riffaud, Christophe Gibout, Robin Recours
Skateparks : de nouveaux parcs de jeu pour enfants - Une analyse socio-spatiale des sports de rue à partir du cas de la métropole Montpellier
L'analyse des sports de rue montre que l'espace public des centres-villes est progressivement délaissé par les plus jeunes au profit des skateparks qui accueillent également ces pratiques ludiques urbaines. Les discours des enfants pratiquants et de leurs parents font ressortir que ces lieux sont le théâtre d'une cohabitation complexe qui engendre une sociabilité intergénérationnelle. En tant que révélateur microsociologique, cette claustration des sports de rue dans un espace consacré révèle une normalisation sportive et spatiale qui répond aux représentations et aux besoins des enfants (< 12 ans) et de leurs parents fréquentant ces lieux.

Pour consulter l’intégralité de l’article (format pdf - 378.6 ko - 29/02/2016)