septembre 2002,
Les autorités locales de Quito, capitale en forte croissance de l’Equateur, soucieuses de protection de la nature environnante, se heurtent aux installations illégales des pauvres sur les versants boisés de l’agglomération, véritables poumons verts de la ville. La condamnation publique du grignotage des versants par les bidonvilles n’a d’égale que la discrétion des réactions face aux constructions de standing qui gagnent aussi ces espaces de qualité.
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