septembre 2002,
L’inscription des villes de Djenné et de Tombouctou au Mali au patrimoine mondial de l’humanité concerne plus les monuments que le développement économique et social.
Le tourisme international et haut de gamme y trouve plus son compte mais les solutions techniques retenues demanderaient aussi un entretien local. Habitants et entreprises locales font surtout valoir leurs revendications concrètes en matière de logement, d’écoles et de services médicaux.
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