septembre 2002,
La protection des monuments et des sites, longtemps à l’initiative des élites républicaines, s’est progressivement étendue à de multiples activités urbaines sous l’impulsion du mouvement associatif. La démolition de quartiers vétustes et pauvres comme de certains bâtiments industriels désigne en creux les intérêts investis dans la sauvegarde du patrimoine. Le discours sur le bien commun et la ville durable qui accompagne l’élargissement des inscriptions patrimoniales masque sans doute les choix sélectifs de conservation qui s’opèrent.
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