mars 2003,
Au delà des images d’errance du clochard, les déplacements urbains des individus sans logement dévoilent une certaine hétérogénéité des situations et des parcours. A Marseille, des liens se dessinent cependant en creux entre les usages précaires du port, du centre et des quartiers périphériques. Les territoires de circulations erratiques entre espaces transitoires et institutions de secours révèlent les ressources résiduelles de la ville.
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