mars 2003,
Depuis deux décennies, la libéralisation économique en Argentine s’est soldée par un chômage massif des salariés à des niveaux de plus en plus élevés de l’échelle sociale. La vague récente de privatisations imposée par les organismes financiers internationaux, évince de la société salariale même les couches moyennes des villes. La banqueroute générale d’aujourd’hui fait éclore de nouveaux mouvements sociaux urbains, alliant revendications globales et solidarité locale.
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