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Ammara Bekkouche

enseignante au département d’architecture de l’Université des sciences et de la technologie d’Oran, et chercheure au centre de recherches en anthropologie sociale et culturelle, Oran.

  

Article paru dans le Numéro 98 octobre 2005,
Les visages de la ville nouvelle

Ammara Bekkouche
Un quartier nommé ville nouvelle. Du village nègre colonial à la medina J’dida

Dans la périphérie d’Oran, le « village nègre », lieu de cantonnement créé par le pouvoir colonial, est devenu aujourd’hui une sorte de ville nouvelle, un des quartiers vivants de l’agglomération. Un marché aussi où s’échangent activités formelles et informelles et dont l’aire de chalandise dépasse la ville. Un quartier chantier également, saisi par le renouvellement du bâti et de ses habitants.

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