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Jérôme Boissonade

est architecte, chargé de cours à l’Université Paris X-Nanterre et à l’École d’architecture de Paris-
Belleville. Après un DEA en géographie urbaine, il mène actuellement une thèse intitulée : « L’espace des rassemblements ;
Approche descriptive des pratiques de stationnement dans les lieux publics en périphérie urbaine » sous la direction de
Isaac Joseph au sein de l’Institut parisien de recherche architecture urbanistique société (département de l’UMR n° 7543
du CNRS). Il est par ailleurs responsable de l’étude « Bobigny, Créteil, Nanterre ; les centralités en périphérie » (1999-
2001), financée par plusieurs collectivités territoriales. Un précédent article paru dans les Annales de la recherche
urbaine (n° 85, p. 44-46) intitulé « Paysages, publics », relatait différents modes de sociabilité dans le centre ville de
Bobigny. Un autre, à paraître dans le prochain numéro de la revue AGORA Débats/Jeunesses (n° 24, sept. 2001) et
intitulé « Pratiques de rassemblement et pauses publiques », développe la proposition « d’ossatures minimales de
services » évoquée dans le présent article.

  

Article paru dans le Numéro 90 Septembre 2001,
Les seuils du proche

Jérôme Boissonade
Pratiques d’agrégation juvénile et dynamiques du proche
Les rassemblements au pied des immeubles sont devenus un stéréotype de la galère des jeunes dans les cités de banlieue. Mais la réalité des pratiques observées sans a priori est tout autre : ces regroupements de proximité, à la fois routiniers et temporaires, constituent la base et le point de départ des circulations et rencontres dans la ville. Ces lieux s'enchaînent les uns aux autres dans une sorte de cabotage urbain à l'insu des institutions.
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