Depuis une vingtaine d’années, la municipalité
de Porto Alegre associe étroitement
les habitants aux décisions. Les
investissements somptuaires des années
antérieures ont depuis lors cédé la place
à de petites opérations définies par une
répartition socialement plus équitable
des ressources. Les nouvelles structures
de participation qui bousculent le clientélisme
local ont inscrit le changement
dans la durée mais laissent encore sans
voix les plus démunis.