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Claire Hancock et Marylène Lieber

Claire Hancock

Professeure de géographie à l’université Paris-Est Créteil et membre du Lab’Urba.
Ses travaux abordent la dimension spatiale des relations de pouvoir, dans une perspective féministe et postcoloniale. Elle a publié récemment « The Republic is lived with an uncovered face (and a skirt) : (un)dressing French citizens », Gender, Place and Culture, 2015, 22/7 ; et « L’espace ressource ou leurre : qu’est-ce que penser spatialement fait gagner,
ou perdre, à la recherche sur le genre ? », Cahiers du
Cedref, 2014, 21.

Marylène Lieber

Sociologue, professeure associée à l’université de Genève. Ses travaux portent notamment sur les violences de genre et l’espace public. Elle a publié récemment, « Violences en famille : quelles réponses institutionnelles », Revue internationale Enfances Familles Générations, n° 22, pp. i-xiii, 2015 ; et « Qui dénonce le harcèlement de rue ? Un essai de géographie morale », in F. Fassa, É. Lépinard et M. Roca i Escoda (dir.), Les usages de l’intersectionnalité, enjeux théoriques et politiques, Paris, La Dispute, 2016, pp. 227-251.

  

Article paru dans le numéro 112
mai 2017,
Le genre urbain

Claire Hancock et Marylène Lieber
Refuser le faux dilemme entre antisexisme et antiracisme - Penser la ville inclusive
Partant de travaux pionniers d’urbanistes et de géographes sur « la ville non sexiste », cet article interroge les formes de féminité que les politiques de gender mainstreaming urbaines ont mises en avant, avant de regarder plus précisément quelle géographie ces politiques dessinent en France. En s’appuyant sur des mobilisations féministes, et sur les formes de violence et d’insécurité qu’elles dénoncent, il entend discuter les bases de la mise en œuvre de politiques qui favorisent une ville réellement inclusive.

Pour consulter l’article (format pdf - 340.4 ko - 23/11/2017)

 

 

  

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