Article paru dans le Numéro 87 Septembre 2000,
Nuits et lumières
François Ménard
La nuit porte cochère,
Digression autour des Correspondants de nuit. Ni travailleurs sociaux, ni agents de sécurité,
ni techniciens du bâtiment, les nouveaux
Correspondants de nuit pallient
au déficit nocturne de services et d'entraide
dans les grandes cités d'habitat
social. Les expériences en cours obéissent
à deux logiques : l'extension nocturne de
services préexistant localement ; la création
d'une structure ad hoc relativement
indépendante. Malgré ces différences
institutionnelles, les Correspondants
règlent les petits problèmes de toutes
les nuits et font de la sorte valoir et
admettre la pluralité des usages dans
une cité