L’alternance entre travail, chômage et
formation ne segmente pas seulement
les moments ou les périodes mais aussi
les lieux. De plus en plus, le travail
qu’on accomplit, qu’on attend ou
qu’on espère empiète sur les autres
activités. Les opportunités de contacts
que la ville offre permettent de résister
à cette emprise. Certains cadres se
retrouvent ainsi régulièrement entre
eux dans tel café pour reconstituer des
liens que leur activité nomade a distendu.
Les équipements publics
accueillent les pauses d’une journée
discontinue.