Octobre 2004,
L’Islam ordonne le rite funéraire selon
des règles familiales et communautaires
qui correspondent de moins en
moins avec la vie urbaine dans le Maroc
aujourd’hui.
L’embouteillage qu’un cortège mortuaire
provoque n’est plus beaucoup
toléré. La visite au cimetière se fait
moins régulière, parfois contestée au
nom d’un islam rigoriste. L’emplacement
des lieux de sépulture et leur
expansion entrent en conflit avec certains
projets urbains.