La gouvernance urbaine érigée en paradigme
intègre le doute sur les finalités
de l’action publique et la mauvaise foi
de ses partenaires. L’utilitarisme d’inspiration
libérale qui anime en sous-main
les dispositifs successifs de participation
sociale creuse le fossé entre les institutions
légitimes et les individus ou les
minorités non organisés. L’invocation
récurrente de la forme associative
témoigne de la méconnaissance des liens
propres aux populations considérées
comme exclues ou marginales.