L’urbanisme qui souhaite repolitiser la
ville par le bas, à l’écart des grands projets,
résiste à l’emprise des experts sur
la vie quotidienne. La notion de quartier
sert de prétexte pour susciter le dialogue
entre élus, experts et habitants.
Cet urbanisme pragmatique rejette le
spatialisme, le dirigisme et le technicisme.
Mais sa sensibilité extrême aux
fluctuations du contexte rend aussi ses
finalités incertaines.